Dimitris P Kraniotis
Snow-covered mountains, Ancient monuments, A north wind that nods to us, A thought that flows, Images imbued With hymns of history, Words on signs With ideals of geometry.
Noiseless wrinkles On our forehead The frontiers of history, Shed oblique glances At Homer’s verses. Illusions Full of guilt Redeem Wounded whispers That became echoes In lighted caves Of the fools and the innocent.
Des vagues d’accents circonflexes, Une mer fâchée d’adverbes, Des moulins de verbes, Des coquillages de points de suspensions, Sur l’île de poèmes De l’âme, Du cerveau, De la pensée, Des vêtements monolectiques Que tu
Life counts The rules; The sunset, their exceptions. Rain drinks up The centuries; Spring, our dreams. The eagle sees The sunrays And youth, the visions.
The fireplace Was eager To put a fullstop, In the sentence Where the road Of my dreams Stuck Upon the word of happiness With sparkles Of wet logs I collected From the inside of
La vie compte Les règles, Le couche du soleil Leurs exceptions. La pluie boit Les siècles, Le printemps nos rêves. L’aigle regarde Les rayons du soleil Et la jeunesse, les rêves.
La cheminée Voulait Mettre un point, À la proposition Que le chemin De mes rêves A collée Sur le mot bonheur, Avec des flammes Du bois mouille Que j’ai ramasse De mon âme Et
The night That strangled The endless moments I had wished To live, Passed by Without my lighting up The candle I had longed To warm up All the “don’ts” and “zeros”.
Des montagnes enneigées, Des monuments anciens, Le nord qui nous signe, La pensée qui coule, Des images mouillées Par les hymnes de notre histoire, Des mots épigraphiques Faits par des idéaux géométriques.
The savour of fruits Still remains In my mouth, But the bitterness of words Demolishes the clouds And wrings the snow Counting the pebbles. But you never told me Why you deceived me, Why
La nuit Qui a suicidé Les moments infinis Que je voudrais vivre, A passé Sans que j’allume La bougie Que je voudrais Qu’elle chauffe Les “non” et les “zéro”.
Le nuage s’est battu Avec le sable, Sous la pluie Des “non” et des “oui”, Marchant avec de la force Sur la logique Qui écoute À l’impasse des “peut être”.
Fumées Des cigarettes Et tasses Pleines de café, À côté De la ligne imaginaire, Sur la quelle la vitesse Des mots S’ appuie Et envoie un signale À mon silence Blessé.
Le goût des fruits Ne part pas De ma bouche, Mais la tristesse des mots Détruit les nuages Et presse la neige Comptant les cailloux. Mais toi, Tu m’as pas dit Pourquoi tu m’as
De petits morceaux de verre Dans la chambre vide Des murmures incompréhensibles, Causent du sang A nos limites, Qui remplissent De blessures La caresse de notre âme.